- Date : samedi 10 mai .25
- Lieux : Sous chapiteau - Machines de l'île - Nantes
- Durée : 1h - A partir de 12 ans
- Style : Théatre
- Tarifs : Tarif plein : 12€, Tarif réduit : 8 €, Tarif très réduit : 5€
- Date : samedi 10 mai .25
- Lieux : Sous chapiteau - Machines de l'île - Nantes
- Durée : 1h - A partir de 12 ans
- Style : Théatre
- Tarifs : Tarif plein : 12€, Tarif réduit : 8 €, Tarif très réduit : 5€
Un spectacle qui se veut porte-parole des voix qu’on n’entend pas ou si peu. Ce monologue -porté par la voix et le corps de Nadia Ghadanfar- met en partage les récits de vie de femmes du monde arabe. Il est le fruit d’approches, de rencontres, de bouts de vie racontés entre ces femmes et la comédienne. Accompagnée par l’autrice Amandine Dhée, elles ont récolté des confidences étonnantes et souvent douloureuses, des vécus emprunts de domination. Une domination qui pose ses interdictions, qui empêche la liberté : celle de sortir, de bouger, de danser… Dans chaque histoire entendue, aussi différente soit-elle, un homme fait barrage à l’épanouissement personnel. On retrouve le poids des traditions qui légitime l’homme dans sa volonté d’enfermer la femme. La domination masculine deviendra le fil rouge du texte à travers ce que ces femmes racontent de leurs peurs, des rapports de force, de l’évocation de certaines traditions.
Texte : Amandine Dhée
Conception et jeu : Nadia Ghadanfar
Mise en scène : Antoine Lemaire
Musique et univers sonore : Jean Bernard Hoste
Scénographie : Stéphane Cauchy
Création lumière : Claire Lorthioir
Production : La Fabrique
Coproduit par le Grand Sud (Lieu culturel pluridisciplinaire de la Ville de Lille)
Subventionné par la Ville de Lille et le Conseil Régional des Hauts-de-France
Photos © Antonio Lomasto
Pour en savoir plus :
- Émission de radio avec Radio Moulins, réalisée par les femmes du quartier Lille-sud (Mars – oct. 2022) : « Les dinosaures ont disparu mais pas ces gars-là », une émission inédite sur les témoignages et les parcours de vie qui ont permis la création du spectacle « Laissez moi danser ».